Avant Élycéa
Il y a quelques années, je travaillais dans une start-up spécialisée dans la data science et l'intelligence artificielle. Des journées rythmées par les algorithmes et les analyses. Mais cet univers ne me convenait pas. Je me fondais dans le décor, incapable d'exprimer qui j'étais vraiment.
Le déclic
Un jour, j'ai craqué pour la couverture d'un livre de brickstitch. Un simple chat tissé en perles qui m'a parlé d'une manière inexplicable. J'ai acheté le livre, acheté mes premières perles Miyuki, et j'ai commencé à tisser.
Ces gestes simples — enfiler, tisser, créer — sont devenus ma façon de me révéler. Perle après perle, j'ai découvert une forme d'expression qui m'appartenait enfin. Le plaisir de créer quelque chose d'unique, de le porter, de le partager… c'était ça, mon langage.
La naissance d'Élycéa
De cette découverte personnelle est née Élycéa. Un nom inspiré du latin lux (lumière), car c'est exactement ce qui s'est passé : mes créations ont apporté de la lumière dans ma vie.
Aujourd'hui, dans mon atelier en Île-de-France, je tisse chaque paire de boucles d'oreilles à la main. Chaque modèle raconte une étape de transformation.
Ma démarche
Je sais ce que c'est de vouloir s'exprimer sans oser. De rêver d'authenticité tout en craignant le regard des autres.
Je crée pour les femmes qui se reconnaissent dans ce parcours. Celles qui commencent à vouloir être elles-mêmes, mais qui cherchent encore comment. Mes boucles d'oreilles deviennent leurs premières alliées dans cette belle aventure vers l'affirmation de soi.